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L'évaluation de la gouvernance forestière au cœur d'un atelier de 4 jours organisé par le WWF à Mbandaka
Du 5 au 8 novembre dernier, le WWF-RDC a organisé à Mbandaka, province de l’Équateur, un atelier de quatre jours dédié à l'évaluation de la gouvernance forestière.
Du 5 au 8 novembre dernier, le WWF-RDC a organisé un atelier de quatre jours dédié à l'évaluation de la gouvernance forestière au Centre de formation de cadres de l’Éducation nationale à Mbandaka, province de l’Équateur. Cet événement a réuni des parties prenantes issues de divers secteurs, dont des représentants de l’administration, du secteur privé et des partenaires techniques et financiers, dans un cadre propice aux échanges fructueux.
Lors de l’ouverture de cet atelier, M. Jean Pierre Ifaso Engende, ministre provincial de l’Environnement, a réitéré l'importance des efforts conjoints pour lutter contre la mauvaise gouvernance dans le secteur forestier. « Votre présence ici symbolise notre engagement individuel et collectif pour améliorer la gestion de nos ressources forestières », a-t-il déclaré.
M. Inoussa Njumboket, représentant du WWF-RDC et facilitateur de l’atelier, a exprimé le défi majeur auquel est confronté le secteur forestier en République Démocratique du Congo est confronté : « Avec la RDC détenant environ 62 % de la superficie forestière du bassin du Congo, la nécessité d'une gouvernance efficace est cruciale. Cette province joue un rôle essentiel pour nous, et nous devons la considérer comme un trésor à préserver».
L'atelier a permis de poser un diagnostic sur l'état actuel de la gouvernance forestière, en débattant des mécanismes de décision et des processus d'application des politiques. « Nous devons aspirer à l'excellence ensemble, en analysant nos forces et en identifiant les faiblesses, pour construire une gouvernance forestière durable », a souligné M. Njumboket. Il a également insisté sur le fait que la gouvernance forestière est un projet à long terme, exigeant un engagement continu et une évaluation annuelle permettant de mesurer les progrès réalisés.
Les discussions ontmis permis de définir des priorités d’action, notamment l'établissement d'une plateforme pour faciliter la communication entre les parties prenantes et le développement d'un projet visant à renforcer le contrôle forestier dans la province. M. Barnabé Bongambo, président du Conseil consultatif provincial des forêts (CCPF), a exprimé sa satisfaction quant aux résultats obtenus lors de cette session, soulignant l'importance du diagnostic participatif réalisé.
Enfin, le WWF-RDC publiera un rapport des résultats de cet atelier, qui sera partagé avec tous les participants. Ce document inclura des recommandations visant à établir un cadre consensuel pour les actions futures, garantissant ainsi que les conclusions de cet permettront d’assurer un avenir prometteur pour la gouvernance forestière en province de l’Équateur. Pour transformer les recommandations en actions concrètes et durables, les efforts conjoints de toutes les parties prenantes sont indispensables.
Lors de l’ouverture de cet atelier, M. Jean Pierre Ifaso Engende, ministre provincial de l’Environnement, a réitéré l'importance des efforts conjoints pour lutter contre la mauvaise gouvernance dans le secteur forestier. « Votre présence ici symbolise notre engagement individuel et collectif pour améliorer la gestion de nos ressources forestières », a-t-il déclaré.
M. Inoussa Njumboket, représentant du WWF-RDC et facilitateur de l’atelier, a exprimé le défi majeur auquel est confronté le secteur forestier en République Démocratique du Congo est confronté : « Avec la RDC détenant environ 62 % de la superficie forestière du bassin du Congo, la nécessité d'une gouvernance efficace est cruciale. Cette province joue un rôle essentiel pour nous, et nous devons la considérer comme un trésor à préserver».
L'atelier a permis de poser un diagnostic sur l'état actuel de la gouvernance forestière, en débattant des mécanismes de décision et des processus d'application des politiques. « Nous devons aspirer à l'excellence ensemble, en analysant nos forces et en identifiant les faiblesses, pour construire une gouvernance forestière durable », a souligné M. Njumboket. Il a également insisté sur le fait que la gouvernance forestière est un projet à long terme, exigeant un engagement continu et une évaluation annuelle permettant de mesurer les progrès réalisés.
Les discussions ont
Enfin, le WWF-RDC publiera un rapport des résultats de cet atelier, qui sera partagé avec tous les participants. Ce document inclura des recommandations visant à établir un cadre consensuel pour les actions futures, garantissant ainsi que les conclusions de cet permettront d’assurer un avenir prometteur pour la gouvernance forestière en province de l’Équateur. Pour transformer les recommandations en actions concrètes et durables, les efforts conjoints de toutes les parties prenantes sont indispensables.