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Protection des savanes dans le Kongo central et le Mai-Ndombe : des résultats encourageants obtenus par les communautés avec l’appui du WWF
Dans les secteurs de Seke Banza et Moanda dans le Kongo central ainsi qu’à Lobobi dans le Mai Ndombe, des résultats encourageants dans la protection des savanes par les communautés ont été constatés par une mission du WWF menée au cours du mois de septembre.
Dans les secteurs de Seke Banza et Moanda dans le Kongo central ainsi qu’à Lobobi dans le Mai Ndombe, des résultats encourageants dans la protection des savanes par les communautés ont été constatés par une mission du WWF menée au cours du mois de septembre.
Les savanes de ces régions sont souvent d’anciennes forêts qui se sont dégradées au fil des ans en raison de l’agriculture itinérante sur brûlis, méthode largement pratiquée dans la région, du raccourcissement des jachères et de l’utilisation du bois comme source d’énergie (bois de chauffage et charbon de bois).
Aider ces savanes à redevenir des forêts est un des axes d’intervention choisi par le Projet de Renforcement de la Résilience au changement climatique des Communautés locales de Luki et Mai-Ndombe financé par l’Union européenne qui est exécuté avec la participation des villageois eux-mêmes. Une des principales activités consiste à protéger ces savanes des feux de brousse par l’aménagement de coupe-feux.
Pour la protection effective des savanes contre les feux de brousse, une somme de 5 dollars par hectare est allouée aux communautés pour la mise en place de pare-feux. Ainsi en septembre, 26 604 $ équivalent à 5 320.8 ha de savanes protégées ont été mis à la disposition de 15 Comités locaux de développement (CLD) dont 14 CLD au Kongo central et un au Maï-Ndombe (où le projet est également déployé).
La régénération des anciennes forêts comporte plusieurs avantages : le sol est rendu plus fertile par le retour des arbres, le cycle de l’eau est d’avantage régulé et l’on assiste même au retour de certains animaux qui avaient déserté les lieux.
Outre la surveillance et la prévention contre le feu, l’argent reçu pour l’installation des coupe-feux permet aussi aux communautés de mettre en œuvre des actions de développement qu’elles identifient grâce à un outil de suivi communautaire des objectifs de développement durable (ODD).
Les communautés affecteront une partie de l’argent reçu pour la protection des savanes à des activités cruciales pour l’amélioration de leur bien-être tel que la construction de salles de classes, l’aménagement des puits d’eau potable, l’amélioration de la santé maternelle et infantile ou l’aménagement des routes et des ponts. A ce jour environ 10.000 personnes bénéficient directement ou indirectement du paiement effectué aux communautés.
L’outil de suivi des ODD a été mis au point par le Ministère du Développement Durable avec l’appui du WWF en 2018.
Les savanes de ces régions sont souvent d’anciennes forêts qui se sont dégradées au fil des ans en raison de l’agriculture itinérante sur brûlis, méthode largement pratiquée dans la région, du raccourcissement des jachères et de l’utilisation du bois comme source d’énergie (bois de chauffage et charbon de bois).
Aider ces savanes à redevenir des forêts est un des axes d’intervention choisi par le Projet de Renforcement de la Résilience au changement climatique des Communautés locales de Luki et Mai-Ndombe financé par l’Union européenne qui est exécuté avec la participation des villageois eux-mêmes. Une des principales activités consiste à protéger ces savanes des feux de brousse par l’aménagement de coupe-feux.
Pour la protection effective des savanes contre les feux de brousse, une somme de 5 dollars par hectare est allouée aux communautés pour la mise en place de pare-feux. Ainsi en septembre, 26 604 $ équivalent à 5 320.8 ha de savanes protégées ont été mis à la disposition de 15 Comités locaux de développement (CLD) dont 14 CLD au Kongo central et un au Maï-Ndombe (où le projet est également déployé).
La régénération des anciennes forêts comporte plusieurs avantages : le sol est rendu plus fertile par le retour des arbres, le cycle de l’eau est d’avantage régulé et l’on assiste même au retour de certains animaux qui avaient déserté les lieux.
Outre la surveillance et la prévention contre le feu, l’argent reçu pour l’installation des coupe-feux permet aussi aux communautés de mettre en œuvre des actions de développement qu’elles identifient grâce à un outil de suivi communautaire des objectifs de développement durable (ODD).
Les communautés affecteront une partie de l’argent reçu pour la protection des savanes à des activités cruciales pour l’amélioration de leur bien-être tel que la construction de salles de classes, l’aménagement des puits d’eau potable, l’amélioration de la santé maternelle et infantile ou l’aménagement des routes et des ponts. A ce jour environ 10.000 personnes bénéficient directement ou indirectement du paiement effectué aux communautés.
L’outil de suivi des ODD a été mis au point par le Ministère du Développement Durable avec l’appui du WWF en 2018.